2 semaines sans donner de nouvelles, ça doit cacher quelque chose...
Et bien vous avez raison! On a tout simplement pris nos premières vacances et pour l'occasion, les parents sont venus spécialement de France pour enfin visiter cette Guinée dont nous n'avons eu qu'un infime aperçu pour le moment.
Au menu: 15 jours de Trek (dont 7 nuits sous tente) dans le Fouta Djalon, région où de nombreux fleuves irriguant l'afrique de l'ouest prennent leurs sources (Niger, Gambie). Quoi de mieux que de dormir dehors, se laver dans les rivières et faire ses besoins dans la nature pour que nos deux familles apprennent à se connaitre sans chichi? :-)
Les paysages qu'on a traversés étaient tout simplement grandioses.Attention, avalanches de photos avec :
- Des falaises abruptes, parfois rosées parfois noires, qu'on a descendu par des petites failles où coulent des torrents
- Des cascades en-veux-tu-en-voilà afin de se rafraîchir le midi après avoir marché toute la matinée
- Les ponts en tout genre. Naturels ou fabriqués par les locaux
- Les traversées de rivières en pirogue tellement pourrie qu'on n'y rentre qu'un par un
- Et surtout les innombrables rencontres avec le peuple Peul qui habite le Fouta.
Sans conteste les 15 plus belles journées que nous avons passées jusqu'ici en Guinée!
Et bien vous avez raison! On a tout simplement pris nos premières vacances et pour l'occasion, les parents sont venus spécialement de France pour enfin visiter cette Guinée dont nous n'avons eu qu'un infime aperçu pour le moment.
Au menu: 15 jours de Trek (dont 7 nuits sous tente) dans le Fouta Djalon, région où de nombreux fleuves irriguant l'afrique de l'ouest prennent leurs sources (Niger, Gambie). Quoi de mieux que de dormir dehors, se laver dans les rivières et faire ses besoins dans la nature pour que nos deux familles apprennent à se connaitre sans chichi? :-)
L'arrivée à Conakry de nos parents a surtout permis de nous rendre compte à quel point nous nous étions habitués à notre vie ici. Il suffisait de voir leurs mines ébahies devant l'état du centre-ville (qui frise avec le bidon-ville par endroits), la qualité des routes, la température ambiante ou la fréquence des coupures de courants pour anticiper à quel point notre retour en France sera un vrai choc inversé!
Le lendemain, bien clampés dans notre van Toyota à 12 places, où nous ont rejoint 4 autres trekkeurs français ayant choisi le même voyage, nous sommes partis à l'assaut de la campagne guinéenne.
Et dès le premier soir, après seulement 5heures de route, le dépaysement est total.
Fini le stress de Conakry: les grands espaces s'ouvrent à nous comme au bord de ce lac artificiel.
Les nuits nous ont permis de redécouvrir le "plaisir" du froid (la région du Fouta étant en altitude). Mention spéciale pour le pantalon discret de Clem
Les paysages qu'on a traversés étaient tout simplement grandioses.Attention, avalanches de photos avec :
- Des falaises abruptes, parfois rosées parfois noires, qu'on a descendu par des petites failles où coulent des torrents
- Des cascades en-veux-tu-en-voilà afin de se rafraîchir le midi après avoir marché toute la matinée
- Des passages un peu plus "acrobatiques", notamment ces échelles de bois utilisées par les villageois pour remonter les failles dont on parlait plus haut. (NB: la photo de droite ne correspond pas à un vrai passage du trek. :-) )
- Les ponts en tout genre. Naturels ou fabriqués par les locaux
- Les traversées de rivières en pirogue tellement pourrie qu'on n'y rentre qu'un par un
- Et surtout les innombrables rencontres avec le peuple Peul qui habite le Fouta.
Sans conteste les 15 plus belles journées que nous avons passées jusqu'ici en Guinée!
La bise
Clem & Titia